ADIEU 2022-BONJOUR 2023 !

Suis pas très présente sur la blogo en ce moment. J’ai même laissé tomber « en attendant Noël » car manque de temps. Bref, ce matin, je prends tout de même un instant pour vous souhaiter à vous qui passerez par ici une BONNE et HEUREUSE ANNÉE.

Je ne parlerais pas des bonnes résolutions à prendre pour l’année à venir car perso, à l’avenir, ce sera comme d’habitude.

Le défi du 20

Mon article programmé pour 5 heures ce matin n’a pas paru, j’avais fait comme Soène, trouvé 11 mots de 11 lettres en faisant une petite histoire, mais je viens de voir que c’était seulement un mot de 11 lettres. Je récris mon texte de 11 mots, dont j’ai récupéré le brouillon dans la corbeille, je ne veux pas m’être creusée la tête pour rien. 😂

C’est l’histoire de Gustave.

Gustave est un homme extravagant mais toutefois remarquable et particulier. Il est très drôle et pas besoin de le chatouiller pour le faire rire. C’est un insomniaque et pour l’empêcher de bouger, il faudrait l’anesthésier. Il aime vadrouiller, trainailler, baguenauder, toutefois, une chose terrible lui fait peur ; cette chose qui sévit depuis 2 ans, ce fameux coronavirus. Ça l’a anéanti et il est devenu flegmatique.

Pauvre Gustave !!

La photo du samedi

Pour la photo du samedi de Patricia, j’ai choisi cette rivière dont j’ignore le nom. Elle se trouve dans mon département qui est la Nièvre dans un village appelé Narcy, et c’est au cours d’un après-midi dans une noyeraie de ce village que j’ai pris cette photo de la rivière qui coule le long du terrain.

J’aime les reflets dans l’eau.

Les autres participants sont chez Patricia.

Le Défi du 20

Sur un logo dessiné par Soène et une idée de Passiflore, on doit faire un article sur ce qui est proposé sur ce tableau :

Donc on lit qu’en octobre, il nous faut parler, ou trouver 10 animaux

Les animaux sur terre, c’est pas ce qu’il manque, alors j’en ai trouvé dans un recueil de Jean de la Fontaine :

Les animaux malades de la peste

Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste [puisqu’il faut l’appeler par son nom]
Capable d’enrichir en un jour l’Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n’en voyait point d’occupés
A chercher le soutien d’une mourante vie ;
Nul mets n’excitait leur envie ;
Ni Loups ni Renards n’épiaient
La douce et l’innocente proie.
Les Tourterelles se fuyaient :
Plus d’amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux,
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
L’histoire nous apprend qu’en de tels accidents
On fait de pareils dévouements :
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L’état de notre conscience.
Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons
J’ai dévoré force moutons.
Que m’avaient-ils fait ? Nulle offense :
Même il m’est arrivé quelquefois de manger
Le Berger.
Je me dévouerai donc, s’il le faut ; mais je pense
Qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi :
Car on doit souhaiter selon toute justice
Que le plus coupable périsse.
– Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ;
Vos scrupules font voir trop de délicatesse ;
Et bien, manger moutons, canaille, sotte espèce,
Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes Seigneur
En les croquant beaucoup d’honneur.
Et quant au Berger l’on peut dire
Qu’il était digne de tous maux,
Etant de ces gens-là qui sur les animaux
Se font un chimérique empire.
Ainsi dit le Renard, et flatteurs d’applaudir.
On n’osa trop approfondir
Du Tigre, ni de l’Ours, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu’aux simples mâtins,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.
L’Ane vint à son tour et dit : J’ai souvenance
Qu’en un pré de Moines passant,
La faim, l’occasion, l’herbe tendre, et je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n’en avais nul droit, puisqu’il faut parler net.
A ces mots on cria haro sur le baudet.
Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue
Qu’il fallait dévouer ce maudit animal,
Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Manger l’herbe d’autrui ! quel crime abominable !
Rien que la mort n’était capable
D’expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.

Jean de La Fontaine

Loup – Renard – Tourterelle – Lion – Moutons – Tigre – Ours – Ane

Mais dans cette fable, La Fontaine ne cite que 8 animaux, donc il m’en manque 2, et je vais mettre à l’honneur 2 animaux qui ont beaucoup comptés pour moi : ………… mon Rocky :

et mon Grisou ………..

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